La France est le deuxième consommateur mondial d’animation Japonaise.
Une grande part de l’économie et de la culture du Japon repose sur ce domaine.
Dragon Ball est considéré comme le pionnier ayant rendu possible l’exportation du phénomène.
En France, c’est le Club Dorothée qui a fait connaître ce genre d’animation. (Vers la fin des années 80, en 1987 pour être précis.)
Il existe deux supports distincts mais complémentaires.
Le premier
est la version papier qui à l’instar de la bande dessinée représente une
histoire imagée.
Le format se nomme tome et est composé par des chapitres. Ci-contre, One Piece, leader mondial depuis 12 années consécutives dont le succès s’est opéré suite à l’arrêt de Dragon Ball.
Il vient par ailleurs d’être dépassé par Kimetsu no Yaiba, en 2019 grâce à son adaptation animée, d’où l’importance que peut représenter une telle initiative.
Comportant de nos jours environ 90 tomes à son actif alors que selon les dires de son auteur, nous sommes à plus de la moitié du récit.
Le terme « récit » est intéressant car il s’agit d’une vérité peu connue mais un Manga est l’équivalent d’un roman, la seule différence est qu’il comporte des images plus proches de la bande dessinée.
Les différents types de Manga :
- SHONEN :
Destinés aux adolescents.
Les plus connus sont de ce genre.
Ils permettent au lecteur de s’identifier et de suivre les péripéties d’un héros.
- SHOJO :
Destinés à la gente féminine.
Ils
sont plus portés sur l’aspect romance.
- SEINEN :
Genre plus souvent réservé à un public averti.
Une fois que le Manga a connu un succès non-négligeable, il peut connaître une adaptation animée.
Il s’agit tout simplement de porter l’œuvre sur écran.
Un animé est censé représenter fidèlement l’œuvre dont il est tiré.
Ci-dessus nous pouvons voir la différence entre le dessin d’origine et la version finale ayant été réalisée par un studio d’animation.
En analysant cette image, nous pouvons constater que l’œuvre semble avoir été bien adaptée.